• Règle 1 : La vie est injuste : habituez vous!

     

    Face à des situations données, nous ne sommes pas égaux dans la réaction. Certains n’auront aucune réaction, d’autres vont positiver la situation et d’autres enfin vont vivre très mal la situation. Notre réaction face aux situations est liée à notre caractère mais aussi à notre éducation et nos habitudes.

     

    Tout l’art de l’évolution consiste donc à prendre en compte les difficultés, en retirer un certain nombre d’enseignements pour mieux accepter et passer au delà des difficultés futures. Je vais prendre l’image du boxeur qui se prend un direct du droit et se retrouve au tapis. La fois suivante, il sera plus vigilant et mettra un casque pour que l’intensité du coup reçu soit moins violente à supporter. Le coup sera toujours là, vous ne pourrez éviter les difficultés de l’existence. En revanche, vous pourrez influer sur la manière dont les coups reçus vous atteignent.

     

    Le mot résilience se rapporte aux matériaux. C’est une caractéristique mécanique qui définit leur résistance aux chocs. Les métaux qui ont une faible résilience cassent au premier petit coup et ceux qui affichent une grande résilience vont absorber les chocs importants en se déformant puis en reprenant leur forme initiale.

    Même si le dictionnaire reste muet à ce sujet, on retrouve la même caractéristique chez les êtres humains. Certains réagissent bien aux chocs et d’autres s’écroulent au premier ennui, à la première crise. Comment devenir plus résilient?

    Des personnes résilientes ont été évaluées sous plusieurs coutures. On a par exemple tenté de comprendre pourquoi certaines étaient sorties vivantes des camps de concentration tandis que d’autres s’y étaient laissé mourir. On a tenté de comprendre pourquoi certaines personnes qui ont tout pour elles (physique agréable, milieu aisé, etc.) sombrent dans la dépression alors que d’autres ayant grandi dans des milieux défavorisés et souffrant d’un handicap important démontraient un goût certain de la vie et éprouvaient du plaisir chaque jour.

    Ce qui ressort de ces études est surprenant: les personnes résilientes ne sont pas spéciales. Elles ne possèdent pas un gène unique. Elles ne sont pas plus intelligentes ni plus appuyées par leur milieu que les personnes qui s’effondrent aux premiers caprices du destin. Elles ont simplement décidé de ne pas se voir comme des victimes et elles ont développé des habitudes qui leur permettent de tirer le maximum des situations qu’elles vivent, aussi désagréables ou aussi agréables qu’elles soient. C’est le développement de ces habitudes que le lecteur sera appelé à faire tout au long de sa lecture:

    se mettre à l’écoute de ce que l’on ressent;

    prendre le contrôle de son conseil d’administration personnel

    ne pas s’en mettre trop sur le dos;

    ne pas prendre les choses sur un plan personnel;

    cesser de s’en faire;

    faire la paix avec son passé;

    faire grandir son sentiment de bonheur;

    anticiper positivement l’avenir;

    déconnecter et accueillir le stress;

    élargir sa vie.
     


    Règle 2 : Le monde se fout de votre amour-propre.


    L'amour de soi qui n'est que l'instinct vital, diffère de l'amour-propre qui tient à des idées acquises, à des comparaisons qui s'établissent entre nous et les autres. L'amour-propre est une extension de l'amour de soi et peut lui servir de supplément. On s'aime dans les autres quand on ne peut plus s'aimer en soi-même d'une manière directe et immédiate. L'on revient ainsi à s'aimer médiatement, c'est-à-dire que nous (nous) rendons l'affection que des êtres chéris nous témoignent et que nous n'aurions pas sans eux. Le monde s'attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous ne vous félicitiez vous-même.


    Règle 3 : Vous ne gagnerez pas $60,000 par an en sortant de l'école.
    Vous ne serez pas vice-président en commençant, avec GSM  et voiture de fonction fournis, avant d'avoir mérité, gagné ces privilèges.


    Règle 4 : Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d'avoir un patron.


    Règle 5 : Travailler dans une friterie n'est pas s'abaisser. Vos grands-parents avaient un mot différent pour ça : ils l'appelaient une opportunité.


    Règle 6 : Si vous gaffez, CE N'EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et apprenez de vos erreurs.


    Règle 7 : Avant que vous naissiez, vos parents n'étaient pas aussi ennuyants qu'ils le sont maintenant ! Ils sont devenus comme ça :


    * En payant vos factures,
    * En nettoyant vos vêtements
    * Et en vous entendant répéter sans arrêt combien vous êtes bons et cools.
    Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans votre propre chambre et tout ce qui s'y trouve


    Règle 8 : Votre école s'est peut-être débarrassé du système « gagnant-perdant », PAS LA VIE !
    Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse.
    Ceci n'existe pas dans la vraie vie !


    Règle 9 : La vie n'est pas divisée en semestres.
    L'été n'est pas une période de congé. Et très peu d'employeurs sont disposés à vous aider à VOUS ASSUMER, c'est votre responsabilité.


    Règle 10 : La télévision n'est pas la «vraie vie».
    Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler.
    Si vous êtes d'accord, faites circuler, sinon, mettez-vous la tête dans le sable et prenez une grande respiration."

    Règle  11: soyez stratégiques

    Évitez d’être impulsifs avec les gens désagréables, il y a de bonnes chances que  vous en ayez un pour patron.  


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  • T'es belle !

    J’te trouve belle ! En fait, j’ai envie de te le dire à chaque jour, à chaque instant, à chaque seconde…

    T’es belle.  J’ai l’impression lorsque j’regarde dans tes yeux, c’est toute ton âme que j’vois. Pis elle est belle, ton âme. Maudit qu’elle est belle !

    T’es belle quand tu souris. J’te jure, j’peux pas m’empêcher d’te regarder avec un p’tit air niaiseux, parce qu’il me fait pas mal d’effet ce p’tit sourire-là.

    T’es belle quand tu m’fais rire. T’sais quand tu m’agaces pis que j’te réplique que c’que tu dis c’est n’importe quoi, ben en fait, j’te trouve juste so fucking cute !

    T’es belle quand tu m’regardes. Je me perds dans tes yeux ! Ce regard-là m'hypnotise ! C’est comme si y’avait rien d’autre autour, c’est mon échappatoire.

    J'vais t'avouer quelque chose… Ça arrive lorsque tu parles, mes pensées se figent en te regardant, parce que tu me fais tant d’effet. Si je fais juste hocher la tête en souriant vaguement, c’est que je ne pense plus.

    Ce n'est pas parce que je n’aime pas t’écouter, au contraire, j’adore nos discussions. C’est juste que j’arrive pas à décrocher...

    J’te trouve si belle.

    T’es belle quand tu te déshabilles... My God ! J’te croquerais partout. Ta peau si douce, ta silhouette si séduisante ! Impossible d’y résister…

    T’es belle quand t’es avec tes amies. Vous riez, vous vous amusez,  pis moi j’trouve envoutante!

    T’es belle quand tu fais de la musique avec moi ! Quand on improvise !  On dirait qu’on valse dans notre bulle. On vit cette complicité, cette chimie quand on se laisse porter par la musique, comme si tout gravitait autour de nous !

    T’es belle quand tu fais ce qui te passionne. J’te regardes pis my god, j’te trouve tellement sexy quand t’es dans ton élément. Ton regard s’illumine quand t’en parle, pis tes yeux pétillent encore plus.

    T’es belle avec tes enfants. On en a pas ensemble, mais j’te regarde avec les tiens, pis maudit que t’es un belle maman.

    Je sens, je vois tout cet amour que tu leur donnes !

    T’es belle, avec tout le bagage que tu traînes; ton passé, tes rêves, tes ambitions, tes déceptions.

    T’es belle quand t’es vulnérable. Pis quand tu t’ouvres comme ça à moi, ça te rend encore plus irrésistible ! J’ai juste envie de te prendre dans mes bras même si t’en a pas besoin !  Ta tristesse, ta sensibilité, je les trouve tout simplement belles ! 

    T’es belle quand on s’embrasse. J’te regarde pas vraiment, mais juste de sentir tes lèvres et ton corps contre le mien, ça me rappelle à quel point j’te désire, autant de corps que d’esprit.

    T’es belle l’été. Quand le soleil te fait plisser des yeux pendant que tu me regardes avec cette expression tellement intense. .

    T’es belle en hiver aussi. Avec tes joues rougies par le froid sous ton capuchon de renard !  Quand j’te regarde, étendue contre moi sous la doudou du divan, j’imagine de ne jamais quitter ce moment !

    T’es belle quand tu m’dis que tu m’aimes. Ça ne fait pas si longtemps qu’on se le dit, mais t’as cette façon de me le dire qui me fait encore vibrer. T’sais là, la p’tite vibration, celle qui te titille le cœur pis te donnes des papillons?

    T’es belle. T’allumes en moi ce quelque chose d’indescriptible. C’est comme si c’était toujours chaud dans mon cœur de gars.

    Pis quoi encore ? J’aime ! Je t’aime !

    Ah pis… j’t’ai tu dis que j’te trouvais vraiment belle?


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  • Une lettre à la mer…

    par MYLÈNE PAQUETTE le 11 NOVEMBRE 2013

     

    Je ne te supplierai pas de me laisser tranquille, c’est moi qui te cherchais. Au moment d’écrire ces lignes, on se prend la tête avec une dernière querelle et comme d’habitude, c’est toi qui auras le dernier mot. J’abdique certes et je ne cherche pas à avoir raison. Mon ego reste à sa place, bien tapi dans le dernier recoin au sec de mon esprit.

    Cher océan, ça fait maintenant quatre mois que l’on partage nos vies et déjà je dois te quitter. Je ne suis pas encore partie que je te fais déjà des promesses. Je te donne ma parole que nous allons nous retrouver. J’ai apprécié chaque moment passé en ta compagnie, mêmes les plus difficiles car ils ont su me révéler. Tu m’as permis de me découvrir, me dépasser, me surprendre et le plus important; reconnaître mon humilité. Pour chaque trésor trouvé ici, je veux te dire merci.

    Tu reconnais surement ma voix car près de toi j’ai crié plus d’une fois. J’ai même déjà cru crier de mes poumons mon dernier souffle, je t’ai crié d’arrêter, de me laisser tranquille, de te calmer… Malgré tout, résonnaient tous les jours un éclat matinal de ma petite voix du matin, mon célèbre « Hello World » traditionnel depuis le pont de mon minuscule esquif.

    Notre quotidien s’est construit d’horizons merveilleux, de ciels sans obstacles, d’étoiles. D’un lever de lune pleine à un autre de tes célèbres couchers de soleil, j’ai rencontré ton âme et tes habitants, des êtres surprenants, merveilleux. À chaque jour, j’aperçus l’un d’entre eux que ce soit une baleine, d’adorables globicéphales, des dauphins, des bancs de poissons, du plus petit au plus effroyable du monde, une vieille tortue, des oiseaux, des calmars ou de gracieuses méduses, à chaque fois je me suis adressé à eux avec intérêt, avec déférence. Ici, se respectent et s’achèvent au rythme de ta volonté des milliers d’êtres contribuant au monde soit de leurs chairs soit de leurs ruses, parvenant à maintenir de justesse un équilibre incertain pour construire cet univers marin auquel je tire aujourd’hui ma révérence.

    J’ai eu peur de toi plus d’une fois. Maintenant que je t’aime à ce point, j’ai beaucoup plus peur pour toi que pour ma petite personne bien limitée. J’ai peur pour ton âme mais surtout pour les hommes de la terre qui dépendent tous de toi.

    Promet-moi de bien prendre soin des marins de la planète qui te chevaucheront et qui feront passage en tes eaux. De mon côté je te promets de t’être toujours loyale, de leur parler de toi en bien et de louanger ta beauté, ta discipline, tes couleurs et surtout tes habitants. Je leur dirai que tu es forte mais très fragile, fière mais modeste et gracieuse même si tu es horrible parfois, je te ferai toujours honneur. Je leur dirai que je t’ai pardonné chaque querelle, chaque état. Je prierai mes amis les hommes de prendre soin de toi, pour nous tous les terriens.

     

    Car nous deux, nous savons bien que peu importe l’issue de notre histoire, malgré mon amour à ton égard, je quitterai ce monde bien avant toi, de vieillesse, de maladie ou d’escapades, comme tous mes frères les humains. À nous seuls, nous t’avons fait bien du mal, tu aurais pu m’en vouloir à m’arracher la vie mais non, tu m’as laissé passer malgré tes états d’âmes les plus redoutables. Pour ça, je te dois tout.

    Je leur parlerai de toi, je leur dirai à quel point tu es belle, à quel point on ne se soucie pas assez de ton destin. Je leur dirai que tes oiseaux m’ont fait la cour à tous les jours, que ton vent peut être aussi doux qu’un matin de printemps et que ton silence peut faire jaillir les plus vieux souvenirs ensevelis aux confins de nos esprits. Je tenterai de leur partager notre histoire pour les en séduire de toi et les faire t’aimer, t’aimer toujours.

    Les humains pourront peut-être comprendre que le mal qu’on te fait, nous le faisons d’abord à nous-mêmes. Car après notre départ et celui des oiseaux, tu continueras à éroder les rochers les plus durs de ce monde, embrasser les berges, tout prendre au passage et arracher bien des arbres. Tu déferleras à jamais en toi-même, tu gronderas et toujours, même si l’Homme n’est plus pour écouter de ses sourdes oreilles, tu feras crépiter l’air à ta surface et ainsi créer le plus beau son du monde soit l’effervescence de tes eaux.

     

    La dame aux baguettes

     


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  • 10 Idées pour un meilleur Leadership

    Malheureusement, je ne peux pas citer la source !  Cela fait trop longtemps que j’ai traduit ce texte pour des collègues !

     

    Voilà !

     

    INSTEAD OF COVERING YOUR ASS, PUT YOUR ASS ON LINE

    Nobody ever advanced their career by covering their ass, and nobody ever got ahead without taking risks. No pain, no gain. Simple as that.

     

    Mieux vaut s’affirmer publiquement que de faire partie de la majorité silencieuse.

     

    DON’T RIP OFF IDEAS — RIFF ON THEM

    Instead of co-opting or outright stealing a coworker’s or employee’s idea, do what bloggers do: We’re always riffing on each other’s posts. Everybody benefits and some of the offshoots are better than the original.

    Riffing: S’en servir plusieurs fois pour aller plus loin… Donc, ne pas détruire les idées mais les enrichir…

     

    TELL IT STRAIGHT; DON’T SUGARCOAT OR BREATHE YOUR OWN FUMES

    That’s right, grow some cojones, be honest about what’s going on, and accept nothing less from others. Being a yes-man or surrounding yourself with them spells disaster for you and your organization.

    Avoir des propos francs sans dorer la pilule ou patiner !

     

    INSTEAD OF PROTECTING YOUR TURF, OPEN UP THE PLAYING FIELD

    The more you try to protect your domain, the faster you’ll lose it. Also, turf wars quickly deteriorate into dysfunctional silo behavior and bunker mentality. It’s all bad. Besides, influence without authority or control is the true test of leadership.

    Partager est plus gagnant que d’entretenir des chasses-gardées…

     

    DON’T BITCH ABOUT THE BOSS; COMPLEMENT HIS WEAKNESSES

    Workers are constantly whining about their boss without realizing the harm it does to themselves. If you want to do your career some good, learn to identify and minimize your boss’s and coworkers’ issues. That’s what good leaders and effective managers do.

    À qui sert de se plaindre d’un patron ?  Mieux vaut travailler en collégialité !

    ATTACK THE PROBLEM, NOT THE PERSON

    People are always complaining that conflict stresses them out. When it’s directed at a person, it is bad news. But when it’s directed at solving a real customer or product problem, that’s another story. Workplace conflict is beneficial, as long as it isn’t personal.

    S’attarder aux vrais enjeux et non aux personnes !

     

    DON’T PLACE BLAME; TAKE RESPONSIBILITY

    Pointing fingers just creates tension or inflames already tense situations. By identifying and taking responsibility for issues, you bring them to light sooner and get them resolved faster — and you will be recognized for your effort.

    Assumer ses responsabilités plutôt que de blâmer les autres !

     

    INSTEAD OF MAKING WAVES, MAKE DECISIONS

    Dysfunctional managers love to disrupt things and create turmoil. In reality, they’re only disrupting their own already-tenuous jobs. Instead of making waves, dive in, analyze the problem, and propose a solution.

    Être pragmatiques (Prendre des décisions) plutôt que de déplacer de l’air…

     

    TO BREAK ANALYSIS PARALYSIS, TAKE A CHILL PILL

    One or two chronic debaters can effectively stall any kind of decision-making. I’ve seen entire organizations brought down by this insidious behavior. Instead of beating a dead horse, chill out, then meet back and actually make and document a decision. You can always change it later, but not if you never make the call.

    Prendre des décisions la tête froide et avec recul.

     

    REPLACE STRATEGY DU JOUR WITH STRATEGIC PLANNING

    The opposite problem of analysis paralysis is overreacting to a single data point and declaring a new direction, oftentimes without key stakeholders present. An effective strategic planning process will take care of that.

     

    Éviter de généraliser à partir d’un seul point de vue. Prendre des décisions avec une vue d’ensemble, globale (dans l’intérêt du milieu)

     


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  • Aimer…

     

    Inconsciemment, l’amour guide nos pas de tous les jours… Notre histoire de vie est celle du besoin d’aimer et d’être aimé… Lorsque l’amour naît, c'est un peu comme de la magie…  L’on ressent mutuellement ce sentiment de complétude  “ On pense pareil, on a l'impression de s'être toujours connu... ”

    L'amour peut changer les hommes et le monde mais la vie à deux est si fragile...

    Toutefois, la fragilité n’est pas négative. La fragilité est l’essence même de la vie. Si elle n’était pas fragile, je ne lutterais pas pour rester en santé et en vie. Les fleurs sont fragiles; si elles ne l’étaient pas, serions-nous aussi émus devant leur beauté ? Passerions-nous autant de temps à les arroser, les nourrir ? Seraient-elles aussi belles à nos yeux ? La fragilité inspire la tendresse, la délicatesse, l’attention et l’Amour... Et prendre le bonheur à deux pour acquis et laisser l’amour s’effacer, n’est-ce pas qu’on ait fermé les yeux à sa fragilité ? La fragilité ne nous fait-elle pas un peu peur, car elle demande un engagement inconditionnel. 

    L'Amour c’est aussi risquer… Le beau risque… C'est risquer de réussir tout autant qu'échouer…  Nous nous devons de risquer parce que la plus sérieuse menace à la vie se trouve dans l'absence du risque...

    Il n'y a probablement jamais de fautes, seulement des leçons. La croissance est un processus d'essais et d’erreurs… La vie et surtout l’amour doit être une aventure audacieuse ou elle n’est que peu de choses...

    Aimer, c'est partager au jour le jour des mots, des regards, des espoirs, des craintes. L'Amour c’est construire, c’est s’emporter et croire à son avenir

    Aimer ce n’est pas économe… Aimer c’est se dépenser sans compter, c’est conjuguer avec échanger.  Qui donne beaucoup aime ! Tout simplement ! Ne possédons-nous pas ce que nous donnons ?

    Aimer n’est pas dominer l’autre  mais de s’accompagner dans nos courses mutuelles ! Savoir accepter l'autre tel qu'il est sans vouloir le changer. C'est de se rendre compte qu'on ne le connaîtra jamais à fond. C'est être capable de vivre avec ses faiblesses et ses forces.  C'est savoir se taire et l’écouter alors qu’il a besoin de communiquer sa joie ou sa peine. Aimer c'est aussi faire confiance et croire en sa sincérité.

    L'Amour est une vertu d'intelligence et tout autant de pardon et de respect de l'autre… C'est comprendre que des jours on est perdant et que d'autres jours on est gagnant. C'est éviter le calcul dans le partage des tâches, de soi et de l'argent. C'est accepter l'imprévisible et à apprendre à gérer l'inconnu. C'est renégocier ensemble chacune des étapes de la vie.

     

    Être en amour, c’est puiser des émotions au fond de soi!   C’est d’être heureux de ce qu’on a vécu, de ce que l’on vit et de ce que l’on est devenu... Ainsi, l’amour est un catalyseur à votre devenir... Nous sommes les maîtres d’œuvre, les créateurs de votre réalité...


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