Et toi ?

Ça t’arrive d’avoir envie ?

Malgré avoir vécu  les remous,  les conflits, les distances

Malgré que le mal soit fait et qu’il est probablement trop tard…

Malgré que l’amour ou même l’amitié se soient estompés…

Malgré que nous n’avons plus envie de revenir en arrière

Malgré la peine, la colère… Inutiles !

Des souvenirs parfois doux, parfois passionnés subsistent

Un parfum, de la tendresse

Après tout ce temps passé depuis les dernières fois

Pour l’espace d’une nuit, d’un moment…

J’aurais bien envie de les faire revivre…

Et toi ?

Si chacune de tes années était représentée par une rose,
quel joli bouquet cela ferait…Avec les bougies sur le gâteau allumés,
quel décor féerique !
Mais avec ta bonne humeur,
cet anniversaire ne peut que t’apporter du bonheur
Joyeux anniversaire ma chérie !

Belle au cœur tendre et sensible
Aujourd'hui mille délices
Pour expliquer la beauté et la splendeur
De ce grand jour.

En ce grand jour
Mille dédicaces pour te dire
Joyeux anniversaire
Mais, moi je t'offre ce simple mot "je t'aime"
Rempli de bonheur et de tendresse.

Avoir soixante ans,
c'est poursuivre la lecture du livre de notre vie...
C'est accepter de tourner les pages
pour tout simplement compléter un chapitre,
sans craindre qu'arrive le mot fin!

Avoir soixante ans, c'est maintenir son équilibre
en traversant chaque route
que la vie place sur notre chemin.

Continue toujours de regarder en avant,
en conservant ta capacité d'émerveillement.

Poursuis ton voyage sur le chemin que tu te traces
et où j'ai encore grand plaisir à prendre place!

Bon anniversaire !

Votre culpabilité a fortement à voir avec la morale, la religion, et la loi : toutes ces instances extérieures à vous-mêmes auxquelles vous avez le devoir d’obéir.

Vous avez au plus profond de vous le sentiment qu’un cadre rigide et strict s’impose à vous, ne tolérant aucune entrave à son fonctionnement. Ces entités impersonnelles surveillent chacun de vos pas.

Si vous faites le moindre petit écart (prendre le bus sans ticket, ne pas tenir la porte etc) vous avez la sensation désagréable qu’un être moralisateur vous a vu à votre insu et lâche son verdict : " Ce que tu as fait est mal ".

Inconsciemment pourtant, vous avez un fort désir d’illégalité. Mais ne pouvant l’assumer, vous vous faites un point d’honneur à vivre dans le respect le plus total et à ne pas remettre en question. Vous optez pour la normalité, la non-affirmation de vous-même.

Peut-être est-ce le fruit d’une éducation prônant le respect démesuré. Mais cette peur d’être fautif pourrait bien être lié à la loi œdipienne… Vous avez dans le fond, envie de provoquer l’interdit, mais l’idée de punition est en vous trop angoissante. Vous tombez ainsi dans l’extrême inverse : ne surtout pas offenser la " LOI ", que vous projetez allègrement sur l’extérieur.

Pour apaiser cette culpabilité qui vous empêche de vous révéler pleinement et d’affirmer votre originalité, essayez de rendre votre cadre moral plus souple en vous autorisant de temps à autre à ne pas le respecter, tout simplement.

Ceux qui gagnent prennent des risques.

Comme tout le monde, ils craignent de se tromper, mais ils refusent de se laisser abattre par la peur.

Ceux qui gagnent n’abandonnent pas. Ils s’accrochent dans la tourmente et attendent que la roue tourne.

Ceux qui gagnent savent qu’ils ne sont pas infaillibles. Ils assument leurs faiblesses tout en tirant profit de leur forces.

Ceux qui gagnent tombent parfois mais savent se relever. S’ils échouent, ils ne l’imputent pas au destin; s’ils réussissent ils ne l’attribuent pas à la chance.

Ceux qui gagnent acceptent de prendre leur vie en main. Ceux qui gagnent savent que plus d’un chemin s’offrent à eux et ils ne craignent pas de les emprunter.

Ceux qui gagnent ont des pensées positives et voient du bon en toute chose. Ils savent rendre le banal extraordinaire.

Ceux qui gagnent ont foi dans le chemin qu’ils ont choisi, même s’il est ardu et même si les autres n’en discernent pas bien le tracé.

Ceux qui gagnent sont patients. Ils savent que la valeur d’un travail est proportionnelle à l’effort qu’il a coûté.

Tu es de cette race-là, tu es de ceux qui font de ce monde un monde meilleur…

Paraît-il… J’peux-tu dire paraît-il… Parce que j’ai probablement été le dernier à le savoir que… Bin… Heu… Ça parait bin gros maintenant … Que toi et ton conjoint… Ha Ha !!! Vous vous êtes lancés pour la grande aventure !!!

De tout cœur, je vous souhaite des bonheurs intenses… Des bonheurs comme vous ne les avez jamais connus auparavant !

Toutefois, il est vrai que ces chers enfants procurent avec ce foutu bonheur quelques effets secondaires…  Des maux de têtes, des étourdissements, des fatigues extrêmes, de la toux et/ou des vomissements (lorsqu’eux-mêmes sont malades et qu’ils te transmettent le virus…), des angoisses, de l’insomnie, des inquiétudes, des pleurs, des doutes, des frustrations et des colères !

La vie de parents nous réserve plein d’occasions de croissance ! Des déchirements entre la satisfaction de tes propres besoins et celui que tu attends avec impatience !!! Des sentiments de culpabilité, des questionnements existentiels, des recommencements, des chicanes avec ton conjoint et quoi encore ???

Dorénavant, les réfrigérateurs et les portefeuilles vont se vider à vitesse grand V tandis que les vidanges s’empileront inversement ! Ton chum doit se le tenir pour dit ! Vous ne pourrez pas dire que vous n’avez jamais été prévenus des conséquences de vos gestes probablement commis avec des facultés affaiblies !!!

Comme plusieurs d’entre nous, je peux parler avec expérience !!! À 26 ans, 24 ans et 21 ans, je me complets à dire de mes enfants qu’ils sont merveilleux, les plusse fins, les plusse beaux et je les adore…

Je peux surtout de dire que  malgré tous les effets secondaires, ces enfants nous transforment ! Je ne serai plus jamais le même parce que la vie les a mis sur mon chemin… (Maudit ! Je devrais dire dans mon chemin !!! Pis ça coûte encore cher !

Bon… Ok !  Très calmement, le plus sincèrement du monde, je te souhaite beaucoup de bonheur !